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Ce mémento est destiné aux élèves, aux étudiants de l'enseignement agricole et vétérinaire ainsi qu'aux futurs éleveurs. Il a pour but de rassembler sous une forme concise un maximum de données de base, classiques et chiffrées, dont la connaissance est indispensable à tout professionnel du secteur. Les notions générales et transversales sont traitées dans une 1ère partie : élevage, statistiques, reproduction, alimentation, sélection, productions animales, logement. La 2e partie présente les différentes espèces d'animaux de rente : boins ; caprins ; équidés ; volailles ; ovins ; porcins ; lapins ; chiens de berger. Chaque race de chaque espèce est présentée sous la forme de fiche et comprend : les caractéristiques zoologiques et morphologiques ; une fiche technique ; les données essentielles en maière de reproduction et d'alimentation ; les points clés concernant l'élevage et les productions ; le logement ; l'ethnologie (races).
Animal Husbandry. --- Animals, Domestic. --- Zootechnie. --- Élevage.
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Bétail. --- Animaux domestiques. --- Hygiène vétérinaire. --- Zootechnie.
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Animal Husbandry. --- Animals, Domestic. --- Élevage. --- Zootechnie.
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Dans le contexte économique actuel, les producteurs laitiers sont sous pression pour assurer la rentabilité de leurs entreprises. Au vu de la structure du prix de revient du lait, réduire les coûts alimentaires parait une piste intéressante pour améliorer les performances économiques des élevages. Accroitre l’efficience de l’utilisation de l’énergie des aliments par les animaux est une des voies possibles. L’évaluation de l’efficience des animaux, quelle qu’en soit la définition précise choisie, passe par la connaissance de leurs besoins de maintenance, lesquels sont étroitement liés au poids corporel. Or l’acquisition de ces poids est très difficile en pratique. L’ajustement d’équations prédictives du poids vif à partir de la classification linéaire est une stratégie couramment employée dans la littérature pour remédier à ce manque. De telles équations ont été développées en Wallonie par Laloux (2008), et un des buts de ce travail est de les actualiser pour prendre en compte l’évolution de la morphologie des animaux. La prise en compte du stade de lactation a été améliorée en utilisant une méthode initialement développée pour la modélisation de courbes de lactation. Les équations ainsi obtenues présentent des R2 de validation croisée de 0,53 et 0,46 pour les primipares et multipares respectivement. Afin d’illustrer les possibilités d’utilisation de ces équations, des données issues de la base de données alimentant l’évaluation génétique wallonne et du contrôle laitier ont ensuite été utilisées pour construire un indicateur d’efficience utilisant des ingestions prédites sur base des poids issus des nouvelles équations. En conclusion, ces nouvelles équations devraient permettre d’améliorer les prédictions actuelles, et elles ouvrent la porte à une future évaluation génétique du poids vif et de l’efficience.
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LA PESTE PORCINE AFRICAINE À LA FRONTIÈRE FRANCO-BELGE DE SEPTEMBRE 2018 A MAI 2019 ACTUALITÉS : EPIDEMIOLOGIE-MOYENS DE LUTTE-RECHERCHE VACCINALE OBJECTIFS DU TRAVAIL : Suite à l’apparition en Wallonie, au niveau de la frontière franco-belge d’une épidémie hautement virulente de peste porcine africaine (PPA), j’ai trouvé important de consacrer mon travail de fin d’études à ce sujet. Les objectifs de ce travail ont été d’exposer les données épidémiologiques relatives à cette épizootie pour la période comprise entre Septembre 2018 et Mai 2019, de relater et d’analyser la stratégie de lutte appliquée et d’évoquer des travaux de recherche récents portant en particulier sur le virus, l’immunologie et la vaccination. RÉSUMÉ : La peste porcine africaine, maladie virale à déclaration obligatoire, due à un virus de la famille des Asfarviridae, affecte les suidés sauvages et domestiques. Décrite au Kenya en 1921, elle sévit de façon endémique en Afrique. Elle fut éradiquée d’Europe (hormis la Sardaigne) en 1990, mais réapparaît en Géorgie en 2007. En septembre 2018 deux sangliers viropositifs ont été trouvés en Wallonie, à proximité de la frontière franco-belge, imposant d’urgence une stratégie de lutte rigoureuse afin de contenir l’épidémie. Les mesures prises ont consisté à réduire le déplacement et la densité de la population de sangliers, à prévenir la contamination des porcs domestiques et la dissémination vers les pays limitrophes. Ces mesures coordonnées, réglementées par les Etats et l’Union Européenne, s’appuient sur des données épidémiologiques actualisées concernant la population de sangliers, l’incidence et la forme clinique de l’infection, ainsi que les caractéristiques du virus. Celui-ci appartient au génotype II. Il est hautement résistant et virulent. Sa transmission peut se faire de manière directe ou indirecte incriminant le rôle de l’activité humaine. Concrètement, la région Wallonne a décidé un zonage immédiat de son territoire. Une surveillance active et passive de l’épidémie a pris place. Des règles de biosécurité et des mesures de lutte ont été définies et communiquées aux différents acteurs du terrain au travers de campagnes d’information et de formation. À ce jour, les moyens de lutte mis en œuvre ont permis de maintenir la filière porcine indemne du virus de la PPA. Ces actions ont un coût, tant en termes de moyens financiers que de moyens humains. L’émergence de cette épizootie et les difficultés à l’éradiquer soulignent l’importance de la prévention et la nécessité de poursuivre les recherches pour trouver une solution vaccinale. Cette approche est complexe en raison de la morphogénèse virale et des relations virus-hôte.
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